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[BG] Sidilarsen
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[BG] Sidilarsen
[HRP]Voici le premier chapitre de l'histoire de mon personnage ! Un ou deux autres devraient suivre. Un peu d'indulgence svp, bien que fan de role play, je n'ai que très peu l'habitude de coucher cela sur le papier [/HRP]
Chapitre I - Renaissance
Rhapsody* découvrit devant chez elle une jeune femme ensanglantée, visiblement affamée et à moitié nue. Cette étrange personne était inconsciente, elle avait du épuisé ses ultime réserve pour venir jusqu’à cette porte. Celle faisait maintenant plusieurs années que Rhapsody vivait ici. Elle avait choisie comme jardin ce lac et ses environs, au fin fond de la jungle de Poya, notamment pour sa tranquillité mais surtout pour fuir un monde qui l’avait trahie. Cette visite était donc dès plus surprenante surtout vu la carrure de la demoiselle. Néanmoins Rhapsody réalisa qu’elle-même avait parcourue bien des contrées et pourtant elle se trouvait toujours élancé. La carrure pouvait être trompeuse.
Rhapsody transporta le corps inerte de la jeune femme jusqu’à son lit, lui versa un léger filet d’eau dans la bouche et commença à fredonner une chanson probablement inconnue du monde extérieur. L’étrange jeune femme commença à ouvrir les yeux. Le son qui parvenait à ses oreilles était d’une étrange beauté. Non pas une beauté subjective qui serait différente pour chaque personne, mais une beauté absolue. Une beauté que personne ne pourrait réfuter car elle s’imprègne directement de l’essence même de la vie. Chacune des cellules de sont corps réagissaient aux vibrations de cette chanson et leurs redonnaient de l’énergie. Plus elle reprenait conscience, plus elle trouvait cette musique merveilleuse. Une fois ses yeux totalement ouvert et sa vision moins floue, elle distingua Rhapsody. Elle réalisa alors que c’était cette magnifique et souriante femme qui chantait cette magnifique chanson. Ses références de beauté devinrent complètement obsolètes, car elle venait de voir et entendre la perfection. Rhapsody modifia légèrement le rythme de sa chanson et la jeune femme sombra dans un sommeil profond et récupérateur.
Cela faisait maintenant quelques jours que l’étrange jeune femme était chez Rhapsody et elle s’y sentait déjà bien. Rhapsody avait appris que la jeune femme venait des quartiers sombres de Sanctum, et qu’elle avait fuit la misère des égouts. Mais la cruauté du monde extérieur l’avait rattrapée : bandits et animaux sauvage n’avaient cessés de la harceler. C’était donc par pure hasard qu’elle avait échoué, à bout de souffle, devant cette porte. Rhapsody appris aussi qu’elle avait perdu ses parents très jeune et qu’elle n’en avait aucun souvenir. Elle avait survécu grâce à l’aide du bon vouloir de quelques clochards et de ce qu’elle arrivait à voler. Mais la chose la plus étonnante, c’est qu’elle n’avait même pas de nom. Au mieux quelques surnom donner par certain des clochards. Il est vrai qu’un nom ne sert pas à grand-chose quand l’on vit seule, rejetée de tous. Cela perturba Rhapsody, mais lui donna de l’espoir concernant l’avenir de cette petite. En effet, Rhapsody connaissait le pouvoir des mots, mais aussi et surtout celui des noms. Elle invita donc la jeune femme de choisir elle-même son nom. Après quelques jours de réflexion, la jeune femme décida qu’on l’appellerait désormais Sidilarsen.
*La Symphonie des siècles - Elizabeth Haydon
Chapitre I - Renaissance
Rhapsody* découvrit devant chez elle une jeune femme ensanglantée, visiblement affamée et à moitié nue. Cette étrange personne était inconsciente, elle avait du épuisé ses ultime réserve pour venir jusqu’à cette porte. Celle faisait maintenant plusieurs années que Rhapsody vivait ici. Elle avait choisie comme jardin ce lac et ses environs, au fin fond de la jungle de Poya, notamment pour sa tranquillité mais surtout pour fuir un monde qui l’avait trahie. Cette visite était donc dès plus surprenante surtout vu la carrure de la demoiselle. Néanmoins Rhapsody réalisa qu’elle-même avait parcourue bien des contrées et pourtant elle se trouvait toujours élancé. La carrure pouvait être trompeuse.
Rhapsody transporta le corps inerte de la jeune femme jusqu’à son lit, lui versa un léger filet d’eau dans la bouche et commença à fredonner une chanson probablement inconnue du monde extérieur. L’étrange jeune femme commença à ouvrir les yeux. Le son qui parvenait à ses oreilles était d’une étrange beauté. Non pas une beauté subjective qui serait différente pour chaque personne, mais une beauté absolue. Une beauté que personne ne pourrait réfuter car elle s’imprègne directement de l’essence même de la vie. Chacune des cellules de sont corps réagissaient aux vibrations de cette chanson et leurs redonnaient de l’énergie. Plus elle reprenait conscience, plus elle trouvait cette musique merveilleuse. Une fois ses yeux totalement ouvert et sa vision moins floue, elle distingua Rhapsody. Elle réalisa alors que c’était cette magnifique et souriante femme qui chantait cette magnifique chanson. Ses références de beauté devinrent complètement obsolètes, car elle venait de voir et entendre la perfection. Rhapsody modifia légèrement le rythme de sa chanson et la jeune femme sombra dans un sommeil profond et récupérateur.
Cela faisait maintenant quelques jours que l’étrange jeune femme était chez Rhapsody et elle s’y sentait déjà bien. Rhapsody avait appris que la jeune femme venait des quartiers sombres de Sanctum, et qu’elle avait fuit la misère des égouts. Mais la cruauté du monde extérieur l’avait rattrapée : bandits et animaux sauvage n’avaient cessés de la harceler. C’était donc par pure hasard qu’elle avait échoué, à bout de souffle, devant cette porte. Rhapsody appris aussi qu’elle avait perdu ses parents très jeune et qu’elle n’en avait aucun souvenir. Elle avait survécu grâce à l’aide du bon vouloir de quelques clochards et de ce qu’elle arrivait à voler. Mais la chose la plus étonnante, c’est qu’elle n’avait même pas de nom. Au mieux quelques surnom donner par certain des clochards. Il est vrai qu’un nom ne sert pas à grand-chose quand l’on vit seule, rejetée de tous. Cela perturba Rhapsody, mais lui donna de l’espoir concernant l’avenir de cette petite. En effet, Rhapsody connaissait le pouvoir des mots, mais aussi et surtout celui des noms. Elle invita donc la jeune femme de choisir elle-même son nom. Après quelques jours de réflexion, la jeune femme décida qu’on l’appellerait désormais Sidilarsen.
*La Symphonie des siècles - Elizabeth Haydon
Sidilarsen- Légion : TTD
Messages : 104
Re: [BG] Sidilarsen
Très belle plume !
J'ai hâte de lire la suite
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Djoune- Gardienne Asmodienne
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